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Galien, loc. cit. (Daremberg, volume 1, page 279), sur l’estomac : « Le réservoir qui reçoit d’abord tous les aliments, et qui est une œuvre vraiment divine et non humaine, leur fait subir une première élaboration sans laquelle ils seraient inutiles pour l’animal et ne lui procureraient aucun avantage. Les gens habiles dans la préparation du blé le séparent des particules terreuses, des pierres et des graines sauvages qui pourraient nuire au corps ; tel l’estomac doué d’une faculté semblable, expulse tous les corps de cette espèce, s’il s’en rencontre, et tout ce qui reste d’utile à la nature de l’animal, après l’avoir rendu plus utile encore, il le distribue dans les veines qui arrivent sur ses propres parois et sur celles de l’intestin. » La suite, sur le foie et la veine porte (chapitre ii), qui est à l’origine du dogme galénique de la sanguification hépatique, est transcrite dans la note [31], chapitre iv de la Brevis Destructio d’Hyginus Thalassius. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Thomas Bartholin Historia anatomica sur les lactifères thoraciques (1652) chapitre ii, note 1. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1022&cln=1 (Consulté le 10/12/2025) |