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Ce que Thomas Bartholin appelait l’« antique erreur » (antiquus error) consistait à ignorer les veines lactées (comme avait fait Galien), ou à nier leur rôle dans la nutrition après que Gaspare Aselli eut publié leur existence en 1627 : v. note [17], première Responsio de Jean ii Riolan, 5e partie, pour l’avis que William Harvey avait donné en 1648 sur l’inutilité des veines lactées, en disant que les veines mésaraïques avaient chez l’adulte la même fonction nutritive que les veines ombilicales chez le fœtus. Ses trois lettres de 1652-1655 ont plus tard confirmé ses doutes persistants sur les voies du chyle. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Thomas Bartholin Historia anatomica sur les lactifères thoraciques (1652) chapitre iii, note 10. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1023&cln=10 (Consulté le 09/12/2025) |