Texte : Thomas Bartholin
Historia anatomica
sur les lactifères thoraciques (1652)
chapitre ix, note 14.
Note [14]

Rien non plus n’a vraiment retenu mon attention dans :

  • Actuarius, médecin byzantin du Moyen Âge (vnote Patin 3/9003), auteur de sept livres de Urinis, où je ne suis pas parvenu à comprendre la référence donnée par Thomas Bartholin, mais dont le chapitre xii du livre i est intitulé De iudiciis albarum urinarum [La manière de juger les urines blanches] (édition latine des Operum, Lyon, 1556, tome premier, pages 215‑217) ; v. infra note [16] pour un extrait de cet ouvrage ;

  • Theophilus Protospatharius, autre médecin byzantin (vie s., vnote Patin 4/1090), auteur du De Urinis liber singularis [Livre particulier sur les urines], dont Fédéric Morel a donné une édition bilingue, grecque et latine (Paris, 1608), avec un chapitre intitulé De tenui consistentia cum albo colore [De leur consistance déliée avec une couleur blanche] (pages 25‑29).

En somme, le point iii de ce chapitre ix ne me semble pas autoriser de conclusion claire ; pour expliquer les urines laiteuses, les références citées ont oscillé entre présence :

  • de chyle, possible dans le cas de Nicolaus Florentinus (v. supra note [10]) ;

  • de pus, probable dans les cas de Johannes Schenckius (v. supra note [11]) et de Guillaume de Baillou (v. supra note [13]) ;

  • de sels minéraux, envisageable dans le cas de Felix Platerus (v. supra note [12]).

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Thomas Bartholin
Historia anatomica
sur les lactifères thoraciques (1652)
chapitre ix, note 14.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1029&cln=14

(Consulté le 08/12/2025)

Licence Creative Commons