| Note [27] | |
Ma traduction du début de ce dernier point est une interprétation contextuelle et médicalement plausible d’un latin autrement inextricable. Sans y changer un mot, Théophile Bonet, l’un des grands pionniers de l’anatomie pathologique, l’a transcrit (sans en corriger la syntaxe) dans son monumental Sepulchretum sive Anatomia practica, ex cadaveribus morbo denatis proponens historias et observationes omnium pene humani Corporis affectuum, ipsorumque Causas reconditas revelans [Sépulcre, ou Anatomie pratique tirée des cadavres morts de maladie, présentant des histoires et observations de presque toutes les affections du corps humain, et dévoilant leurs causes cachées], {a} tome premier, page 753. {b} Le commentaire de Bonet se limite à reconnaître qu’une partie du chyle (aliquem chylum) {b} passe du mésentère dans le thorax, mais sans sembler partager l’enthousiasme de Thomas Bartholin sur les conséquences pathologiques de cette nouvelle voie.
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Thomas Bartholin Historia anatomica sur les lactifères thoraciques (1652) chapitre ix, note 27. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1029&cln=27 (Consulté le 08/12/2025) |