| Note [6] |
|
Tout cela est aussi confus qu’invraisemblable : les démonstrations de Thomas Bartholin étaient très loin d’égaler celles de Jean Pecquet, qui n’a pas vu de lactifères gagnant le foie, au point qu’on en vient à se demander si Bartholin a seulement vu ce qu’il décrit. J’ai respecté son vocabulaire qui donnait le même nom de « chyle » au chyme et au chyle proprement dit, qui en dérive (v. note [17], Nova Dissertatio, expérience i). Il appelait « chyle séreux » la lymphe qui se trouve dans les lactifères en période de jeûne. |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Thomas Bartholin Historia anatomica sur les lactifères thoraciques (1652) chapitre xvi, note 6. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1036&cln=6 (Consulté le 09/12/2025) |