Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
4e de 6 parties, note 6.
Note [6]

Les propos de Jean ii Riolan contre le parti antimonial de la Faculté de médecine de Paris sont développés dans la note [35], chapitre iii de la Brevis Destructio. J’ai préféré ici l’italique aux guillemets car il s’agit d’une interprétation et non d’une citation de son Hepatis funerati et resuscitati Querimonia [Plainte du foie pour ses obsèques et sa résurrection] (1653). Dans sa détestation des nouveautés médicales qui n’émanaient pas de lui, Riolan assimilait clairement les partisans de l’antimoine aux tenants de la sanguification cardiaque, mais c’était confondre deux débats qui n’avaient rien de commun, tant en ampleur qu’en enjeu.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
4e de 6 parties, note 6.

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(Consulté le 08/12/2025)

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