Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
6e et dernière partie, note 2.
Note [2]

Le droit est à prendre ici au sens d’argumentation qu’on bâtit autour d’un fait incontesté ; sur les querelles historiques touchant à l’invention de l’imprimerie au xve s., v. notes :

  • [10], Clypeus, première partie, pour la Parænesis de Jacques Mentel (Paris, 1650) qui défendait son ancêtre Jean Mentel, à Strasbourg ; il avait montré son livre à Gabriel Naudé qui y répondait ici sur-le-champ ou par anticipation ;

  • Patin 1/1040 pour la Dissertatio de Bernhard von Mallinckrodt (Cologne, 1640) qui a détaillé la querelle entre Haarlem (Haarlem) et Mayence (Rhénanie-Palatinat) pour conclure à la primauté de cette seconde ville, avec Johannes Gutenberg (comme tout le monde en convient aujourd’hui) ;

  • [27], Responsio ad Pecquetianos, 3e partie, pour le livre de Marcus Zuerius Boxhornius (Leyde, 1640) en faveur de Haarlem.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
6e et dernière partie, note 2.

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(Consulté le 08/12/2025)

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