Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
6e et dernière partie, note 34.
Note [34]

Cinq premiers vers de la 5e page du poème de Michael Kirstenius Silesius {a} Claris. excellentissimoque Medico et Anatomico, D.D. Paulo Marquarto Slegelio, de sanguinis motu scribenti [Au très célèbre et brillant M. Paul Markward Schlegel, médecin et anatomiste qui écrit sur le mouvement du sang] dans le commentaire de Paul Markward Schlegel de sanguinis motu, contre Jean ii Riolan : {b}

« Riolan prend part au débat et y contribue par un immense ouvrage. Il est l’ami de Phébus, à qui Pallas {c} a donné de maniables couteaux et d’heureux rites qui permettent de disséquer : ainsi a-t-il surpassé les autres en recueillant les trophées qu’enfante l’art, et secoue-t-il l’Olympe à son sommet. » {d}


  1. Michael Kirsten (1620-1678), médecin silésien qui professa les mathématiques, la physique et la poésie à Hambourg.

  2. Hambourg, 1650, v. notule {a}, note [9], Responsio ad Pecquetianos, 2e partie.

  3. V. notes [23], lettre de Samuel Sorbière, alias Sebastianus Alethophilus, pour Phébus (Apollon, dieu de la médecine) et [5], lettre de Charles Le Noble à Riolan, première partie, pour Pallas (Minerve, déesse du savoir).

  4. L’Olympe est la résidence de Jupiter, c’est-à-dire William Harvey, dans l’allégorie de Kirsten.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
6e et dernière partie, note 34.

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(Consulté le 08/12/2025)

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