À André Falconet, le 30 décembre 1650
Note [1]
Ce qui restait de vieux bourgogne dans la cave de Guy Patin après le festin de son décanat (v. lettre à Falconet du 2 décembre 1650) venait de servir à célébrer dignement le doctorat de son fils Robert, disputé le 19 décembre (v. note [27] des Actes de 1650‑1651 dans les Commentaires de la Faculté de médecine de Paris), après sa vespérie du 1er décembre (v. note [23] des mêmes Actes) et avant sa pastillaire (régence) du 19 janvier suivant (v. note [30] des mêmes Actes).
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