À Charles Spon, le 15 décembre 1654
Note [1]
Cela ressemble tout de même à une pieuse hypocrisie de Guy Patin qui s’apprêtait à remplir la charge de professeur au Collège de France que Jean ii Riolan lui avait cédée en survivance, c’est-à-dire qu’il ferait les cours, mais sans en percevoir les appointements (v. note [29], lettre 372).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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