De Charles Spon, le 12 février 1658
Note [14]
Charles Spon disposait d’une édition défectueuse des Prénotions coaques d’Hippocrate, commentées par Louis Duret (v. note [10], lettre 33) ; v. note [24], lettre 516, pour l’éclaircissement que lui procura Guy Patin. La traduction des deux passages qu’il n’arrivait pas à rabouter est : « carnosités, où sous sa seule, la guérison […] ce sont ceux qu’on appelle néphritiques. »
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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