À Charles Spon, le 21 août 1657
Note [17]
Guy Patin redoutait qu’un procès devant le Parlement de Paris n’aboutît à une sentence défavorable qui fît jurisprudence, enlevant leur autonomie aux collèges des médecins des villes de province pour les soumettre à l’autorité du Parlement et de la Faculté de médecine de Paris.
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