À André Falconet, le 31 janvier 1659
Note [2]
« je me soucie fort peu de le savoir ; je me soucie seulement de Jupiter car lui seul est tout pour moi » ; Perse (Satire ii, vers 17‑18) :
Heus age, responde (minimum est quod scire laboro)
de Iove quid sentis ?[Or çà, réponds-moi (je me soucie fort peu de le savoir) que penses-tu de Jupiter ?]
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