À Charles Spon, le 22 juin 1668
Note [2]
Guy Patin a appelé Virelle (prénom inconnu) l’« avocat de Provence » qui devait de l’argent à son cher fils Charles (Carolus meus), alors en fuite ; il est revenu sur le règlement de cette dette dans ses lettres à Charles Spon datées du 27 juillet 1668, et des 23 octobre et 8 décembre 1671. Son montant élevé (cent livres tournois), ce qui peut difficilement correspondre à des honoraires médicaux, et renverrait plutôt à une autre transaction (vente de médailles ou de livres).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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