À Sebastian Scheffer, le 29 octobre 1668
Note [2]
Guy Patin s’impatientait depuis plus d’un an de n’avoir toujours pas reçu le second tonnelet décrit dans la note [1] de la lettre à Sebastian Scheffer, datée du 3 novembre 1667. Retenu on ne sait où, il contenait deux paquets :
Le syndicat des imprimeurs parisiens avait retenu l’autre tonnelet cité dans la note [1] susdite en attendant la justification de son contenu (lettre dite de voiture) ou l’issue du procès (v. note [6], lettre latine 466) engagé contre Patin pour exercice illégal de la profession de libraire et contrebande de livres.
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