À Charles Spon, le 4 septembre 1654
Note [21]
Complices directs de l’évasion du cardinal de Retz, Jean Vacherot (v. note [11], lettre 325), son médecin, et l’abbé Rousseau, frère de son intendant, avaient pu quitter le château de Nantes une fois l’affaire faite. On les arrêta peu après, mais on dut les relâcher faute de preuves formelles à leur encontre.
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