À Charles Spon, le 5 février 1655
Note [21]
« On en est venu à soupçonner d’un crime si atroce cet affreux vaurien [François Guénault, que Guy Patin se plaisait à prendre pour un singe], pour ne pas dire ce bourreau ».
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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