À Charles Spon, le 18 décembre 1657
Note [24]
« ce qu’on doit aux corbeaux, on finit par le rendre aux corbeaux » (sans source identifiée).
La prévention de Guy Patin à l’encontre des Normands s’est manifestée plusieurs fois dans ses lettres. V. note [44] du Faux Patiniana II‑2 pour une autre illustration possible de sa méfiance envers les habitants du « pays de sapience » (v. note [3], lettre 41).
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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