À Charles Spon, le 23 novembre 1657
Note [35]
Les trois mots font allusion au même animal, mais avec de subtiles nuances : dans la langue du xviie s., le magot était un « gros singe », et la guenon un « petit singe femelle que les dames de qualité prennent plaisir de nourrir » (Furetière).
Le portrait de François Guénault qui est accroché dans la réserve de la BIU Santé (v. note [21], lettre 80) ne lui donne aucunement l’allure d’un singe ; ce surnom lui venait simplement de la ressemblance de son nom avec le mot guenon.
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