À Charles Spon, le 9 octobre 1654
Note [36]
« comme autant d’imposteurs et d’empoisonneurs. » L’exaltation de Guy Patin était manifeste, mais aucun des projets qu’il annonçait ici n’a abouti. Tout ce paragraphe (et ce qui s’y réfère plus loin dans la lettre), un peu altéré, fait la lettre fabriquée, datée du 9 octobre 1654, adressée à Charles Spon dans Bulderen (xcii, tome i, pages 245‑247), et à André Falconet dans Reveillé-Parise (ccccxxix, tome iii, pages 40‑41).
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