À André Falconet, le 16 avril 1666
Note [4]
« soit par apoplexie, {a} soit par syncope cardiaque, {b} qui sont en rapport avec le mouvement du sang, lequel est liquéfié par la température printanière et s’épanche. » {c}
- V. note [5], lettre 45.
- V. note [15], lettre 554.
- Dans sa spéculation sur la mort subite (v. note [15], lettre 554), Guy Patin prenait bien sûr grand soin de parler de mouvement, et non de circulation du sang.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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