À Charles Spon, le 18 juin 1649
Note [67]
« un faquin ignorant et illettré, un homme de rien. » Plus haut dans sa lettre, Guy Patin a rangé son collègue Jean Merlet (v. note [39], lettre 101) parmi les médecins dignes de louange pour leur zèle à fustiger les abus des apothicaires parisiens : preuve, s’il en fallait, que notre auteur adorait médire.
"Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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