À Johannes Antonides Vander Linden, le 4 janvier 1657
Note [9]
V. notes [32], lettre 442, pour le traité « sur la Pleurésie » de François Blondel, resté inédit.
Guy Patin reprochait ici à son collègue Blondel d’être encore plus rétrograde que lui : il ne jurait que par Hippocrate et Galien, sans aucune considération pour les travaux des modernes, dont le plus éminent, aux yeux de Patin, était Jean Fernel.
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