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« c’est qu’en effet, elle donne réellement libre cours à de grandes maladies ; elle révèle toutefois une mauvaise diathèse des intestins, {a} qui peut finir par être mortelle. Souvenez-vous de l’aphorisme de Duret : Quand vous avez la goutte vous êtes à plaindre, quand vous ne l’avez pas, vous êtes à craindre. {b} Une humeur venimeuse et pernicieuse reflue assurément depuis les viscères déréglés et mal adaptés jusqu’au poumon qui, dès lors, s’en imprègne, et prend naissance une affection irrémédiable. » {c}
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 16 juillet 1666, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0872&cln=1 (Consulté le 07/12/2025) |