| Note [2] |
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Paranymphe (v. note [8], lettre 3) est ici à prendre dans son sens primitif de jeune homme qui jadis, chez les Grecs, conduisait l’époux à ses noces (entremetteur). Les affinités espagnoles que Guy Patin prête ensuite à Ægidius Huylenbroeck ne m’ont pas aidé à mieux l’identifier que dans la note [1] supra. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Nicolaas Heinsius, le 20 juin 1647, note 2.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1045&cln=2 (Consulté le 10/12/2025) |