Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
5e et dernière partie

Note [1]

Lettre de Charles Le Noble à Jean ii Riolan, première partie, page 15 ; le Clypeus n’a pas jugé bon de transcrire la suite, qui explique la fin de l’extrait : « s’il ne leur convenait pas, ne leur était pas familier et ne se liait pas à elles. Si le foie avait en effet la faculté de transformer tout le chyle en sang, ces parties manqueraient de l’aliment qui leur convient car, étant de tempérament très froid, elles repoussent la chaleur du sang pur qui leur est contraire et peut leur nuire. » Cela ne donnait pourtant pas raison à Charles Le Noble (v. infra note [2]).


Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
5e et dernière partie, note 1.

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(Consulté le 10/12/2025)

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