Note [10]
Le propos exact de Jean Pecquet (à qui Jean ii Riolan s’adresse ici directement) est :
Verùm, quâ tandem viâ, quibus meatibus, eò Chylus devolveretur, non licuit ob exhaustum animalis jamdudum mactati mesenterium, evanescentibus planè Lacteis cum expressi liquoris effluxu deprehendere. {a}« Toutefois, je n’eus pas la liberté de chercher le chemin que suit le chyle pour parvenir finalement à ces méats, car mes compressions avaient vidé le mésentère de cet animal déjà mort depuis un bon moment, et on ne voyait plus du tout de liquide dans ses lactifères. »
- Avant-dernier paragraphe de la première dissection, chapitre ii, page 6, 1654, et dernier paragraphe, mêmes page et chapitre, 1651, avec remplacement de demonstrare par deprehendere.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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