Note [11]
Sénèque, De la Brièveté de la vie, chapitre xviii :
Nec te ad segnem aut inertem quietem voco : non ut somno, et caris turbæ voluptatibus, quidquid est in te indolis vivæ demergas. Non est istud adquiescere.[Ce n’est pas à un repos plein d’indolence et d’inertie que je te convie. Ce n’est ni dans le sommeil ni dans les voluptés chéries de la foule que je veux te voir ensevelir tout ce qu’il y a en toi de vivacité et d’énergie. Ce n’est pas là se reposer].
- Sénèque s’adresse à son beau-père Paulinus, qui aspire à une paisible retraite.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.