Texte : Observationes de Venis lacteis (1655).
4. Appendice de la lettre
de Jean ii Riolan à
Charles Le Noble

Note [12]

Le péricarde est certes entouré de graisse, mais Jean ii Riolan s’égarait en croyant qu’elle lui était apportée par les veines coronaires. La principale est la grande coronaire, qui assure en grande partie le drainage veineux du cœur et se jette dans l’oreillette droite près de l’orifice de la veine cave inférieure. Le myocarde (muscle du cœur, ou « substance dure et charnue du cœur », cordis substantia dura et carnea) est quant à lui nourri par les artères coronaires.


Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Observationes de Venis lacteis (1655).
4. Appendice de la lettre
de Jean ii Riolan à
Charles Le Noble, note 12.

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(Consulté le 11/12/2025)

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