Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre viii
Note [14]
En diminuant un peu le vide qui existe dans l’ampoule (et la quantité des vapeurs mercurielles qui sont supposées s’y répandre), ces deux manœuvres ne font pas sortir l’air qui est dans la vessie, mais réduisent sa dilatation.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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