Note [14]
V. notes Patin 5/479 pour les Filles-Dieu, et 15/8214 pour le gibet de Montfaucon.
Je n’ai pas identifié les « honnêtes matrones » (honestæ matronæ) qui, chez les juifs, nourrissaient les condamnés à mort, ni les jésuites flamands qui avaient spécifiquement autorisé leur dissection anatomique.
Cette lettre de Jean ii Riolan à ses collègues de la Faculté de médecine de Paris était d’une insigne maladresse : ses quelques bonnes idées étaient ensevelies sous un fatras d’affirmations contestables, qui ne pouvait qu’encourager le clan pecquétien à persister dans son hérésie sur la sanguification cardiaque.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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