Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Epistola (1653) aux docteurs régents
de la Faculté de médecine de Paris

Note [14]

V. notes Patin 5/479 pour les Filles-Dieu, et 15/8214 pour le gibet de Montfaucon.

Je n’ai pas identifié les « honnêtes matrones » (honestæ matronæ) qui, chez les juifs, nourrissaient les condamnés à mort, ni les jésuites flamands qui avaient spécifiquement autorisé leur dissection anatomique.

Cette lettre de Jean ii Riolan à ses collègues de la Faculté de médecine de Paris était d’une insigne maladresse : ses quelques bonnes idées étaient ensevelies sous un fatras d’affirmations contestables, qui ne pouvait qu’encourager le clan pecquétien à persister dans son hérésie sur la sanguification cardiaque.


Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Epistola (1653) aux docteurs régents
de la Faculté de médecine de Paris, note 14.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1064&cln=14

(Consulté le 11/12/2025)

Licence Creative Commons "Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.