Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre viii
Note [15]
En raisonnant ainsi sur les interfaces, Jean Pecquet voulait prouver que le remplissage de l’ampoule par le mercure n’avait pas pu chasser absolument tout l’air qu’elle contenait parce que les minuscules anfractuosités du verre et du métal avaient pu en piéger une infime quantité (microbulles).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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