Note [15]
Virgile, Bucoliques, églogue ii (le berger Corydon brûlant d’amour pour le bel Alexis), vers 45‑48 :
« [Viens, ô bel enfant !] {a} Voici pour toi les nymphes qui apportent des lis à pleines corbeilles ; pour toi une blanche naïade cueillant de pâles violettes, les plus hauts pavots et le narcisse, les joint aux fleurs odorantes de l’aneth. »
- Huc ades, o formose puer !
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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