Note [16]
Guillaume Rondelet, 3e de ses 18 Libri de Piscibus Marinis [livres sur les Poissons de mer], {a} chapitre xiiii, De Corde, page 68 : {b}
Piscium, qui pulmonibus respirant, cor à terrestrium animantium corde ferè non differt. Aures enim, quas vocant utrinque habet, similiter sinus duos et arterias φλεβωδεις, et venas αρτεριωδεις, tunica quoque inuolitur, quam περικαρδιον vocantn nutriturque maximè vena à parte inferiore, ipsum cingente ac veluti coronante. {c}« Les poissons qui respirent par le moyen des poumons ont le cœur presque semblable au cœur des bêtes terrestres. Il a de côté et d’autre des petites éminences que l’on appelle oreilles, deux creux, veines artérieuses et artères veineuses, il est enveloppé d’une peau que l’on appelle περικαρδιον, {d} il est nourri d’une veine par le bas qui l’entoure comme une couronne. » {e}
- Lyon, 1554, v. note Patin 14/88.
- Après avoir dit que le cœur des poissons à écailles est très différent de celui des animaux terrestres.
- La traduction française est celle de Lyon, 1558, pages 62‑63.
- Péricarde.
- Veine coronaire.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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