Note [17]
Jean ii Riolan avait changé d’avis depuis ce qu’il avait écrit en 1649 dans ses Opera anatomica vetera et nova (v. supra note [5], 2e et 2e extrait cité), où il trouvait un très grand intérêt médical à connaître les voies du chyle.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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