Note [17]
V. note [8], Historia anatomica de Thomas Bartholin, chapitre v, pour sa rude mais juste critique du latin de Jean Pecquet.
Jean ii Riolan enflait avec joie le blâme en empruntant à Perse son sartago loquendi, « une fricassée de paroles » (Satire i, vers 80).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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