Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre xi
Note [19]
Soit, mais alors pourquoi, en passant dans l’urine, le jus de figue d’Inde conserverait-il sa rougeur et les asperges, leur odeur, alors que le vin perdrait sa couleur ?
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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