Texte : Lettres de soutien
adressées à Jean Pecquet :
Pierre De Mercenne (1651)
Note [2]
Pline l’Ancien, Histoire naturelle, livre xi, chapitre ii : {a}
Nam mihi contentui se persuasit rerum natura, nihil incredibile existimare de eâ.« En contemplant la nature je me suis habitué à penser qu’en elle rien n’est incroyable. » {b}
- À propos de l’absence de respiration perceptible chez les insectes.
- Littré Pli, volume 1, page 429.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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