Note [2]
Jean ii Riolan renseignait ici mieux sur la manière dont étaient tués ou mouraient ces animaux que sur leur anatomie, mais il trouvait, non sans raison, impossible de les disséquer vivants : Jean Pecquet exagérait sans doute en prétendant l’avoir fait ; v. néanmoins la note [1], Experimenta nova anatomica, chapitre vi, pour l’observation du chyle dans les veines cervicales du cheval (sans doute ouvert juste après sa mort), rapportée par Bartolomeo Eustachi en 1569.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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