Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
3e de 6 parties
Note [2]
« Qui a une fois passé les bornes de la pudeur, est irrémédiablement voué à devenir effronté » : Cicéron Lettres familières, livre v, xii, avec transierit pour transilierit.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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