Note [20]
J’ai respecté la manière dont Jean ii Riolan parle de lui à la première (« je ») et à la troisième personne (« Riolan »), mais j’ai harmonisé ici à la deuxième (« vous ») celle dont il parle de Jean Pecquet.
Dans la première déduction de sa première expérience (v. sa note [4]), Pecquet a cité le nom de « grande glande du mésentère » (glandula magna mesenterii) que Riolan donnait au réservoir du chyle, et énuméré les endroits auxquels il destinait ses branches. Riolan en a aussi parlé dans la préface de sa première Responsio et dans son Discours des veines lactées (v. sa note [19]), mais sans les références anatomiques qu’il allait citer ici.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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