Note [22]
À savoir par les veines axillaires (subclavières quand existent des clavicules) et la veine cave supérieure : Jean ii Riolan n’admettait pas que la pression exercée par les muscles respiratoires dans l’abdomen et dans le thorax puisse y faire mouvoir le chyle, et allait recourir à toute la mauvaise foi dont il était capable pour prouver que c’était impossible.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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