Note [22]
Les articles contenus dans cette section ne correspondent que de loin à ce qu’annonce son titre : Jean ii Riolan, sans la moindre bienveillance, exploite avec délice les moindres ambiguïtés anatomiques de Jean Pecquet qui étaient essentiellement dues à l’indigence de son latin. Il aurait évité ces avanies s’il avait eu la modestie de se faire aider par une plume amie et plus adroite que la sienne.
Riolan semblait parfois tenir les quatre expériences de la Nova Dissertatio de 1654 pour la reprise des quatre chapitres expérimentaux (numérotés ii‑v et relatant trois dissections) des Experimenta nova anatomica de 1651 : cela n’était absolument pas le cas, mais est une autre marque des piètres talents rédactionnels de Pecquet.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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