Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
2e de 6 parties

Note [28]

Properce, {a} Élégies, iii, v, vers 7‑10 : {b}

« Ô terre malheureuse qui ne faisait que de naître, quand Prométhée la pétrit de ses mains ! {c} Certainement son ouvrage fut fait avec bien peu de prévoyance car, en façonnant le corps, il ne considéra pas l’entendement dans l’art industrieux qui le faisait agir, quoique la droite voie pour se bien démêler d’une si rare entreprise, était premièrement de travailler à l’esprit. »


  1. Vnote Patin 55/152.

  2. Traduction de Michel de Marolles, abbé de Villeloin (vnote Patin 72/183), qu’on pourra trouver verbeuse, mais qui est dans l’esprit du temps (Paris, 1655) et reflète élégamment la pensée de Jean ii Riolan.

  3. V. notule {c}, note [15], Brevis Destructio d’Hyginus Thalassius, chapitre i.


Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
2e de 6 parties, note 28.

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(Consulté le 08/12/2025)

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