Note [3]
La remarque de Jean ii Riolan est étrange car le chat ne fait pas exception parmi les mammifères : il possède des lactifères mésentériques, une citerne du chyle et un canal thoracique (unique). En outre, Jean Pecquet a bien mentionné les chats dans le « troupeau presque complet » des animaux qu’il a disséqués pour étudier les voies du chyle (3e paragraphe, conclusion des Experimenta nova anatomica).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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