Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
1re de cinq parties

Note [3]

Lucain, La Pharsale, {a} livre i, vers 3‑7, à propos du peuple romain {b} effrayé par la guerre civile de César contre Pompée :

« tournant sa main victorieuse contre ses propres entrailles, car les deux camps sont unis par le même sang et l’alliance du royaume est rompue. Toutes les forces du monde ébranlé servent un crime commun, enseignes contre enseignes, aigles contre aigles, javelots contre javelots. »


  1. Vnote Patin 33/104.

  2. Et non d’Apollon, symbole divin de la médecine (v. note [23], lettre de Sebastianus Alethophilus).


Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
1re de cinq parties, note 3.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1041&cln=3

(Consulté le 08/12/2025)

Licence Creative Commons "Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.