Note [30]
Horace, L’Art poétique, vers 359‑360 :
Indignor quandoque bonus dormitat Homerus ;
uerum operi longo fas est obrepere somnum.[Je m’indigne quand il arrive au bon Homère de somnoler, même si, au cours d’un long ouvrage, il est permis de s’assoupir].
Thomas Bartholin entamait la critique des arguments de William Harvey contre les voies du chyle, que Johann Daniel Horst lui avait transmis. J’ai mis entre guillemets les citations, toutes empruntées à la première lettre de Harvey.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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