Note [32]
En en diffusant la copie, William Harvey assumait pleinement les arguments qu’il avait exposés dans sa lettre à Robert Morison (avril 1652, v. supra note [5]) d’où viennent les propos que j’ai traduits entre guillemets.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.