Note [34]
« Ce livre vivifiant et incapable de tromper vous […] a appris, en accord avec le principe dont Aristote s’était convaincu, que le cœur est l’organe premier de l’hématose » : pages 153‑154, lettre de Pierre De Mercenne à Jean Pecquet (v. sa note [6]).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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