Note [36]
Pour se ranger à l’idée que les artères mésentériques puissent extraire le chyle, il fallait aussi nier la circulation harvéenne, ce qui correspond à l’opinion de Jean ii Riolan.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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